Projet R&D Booster 2020 labellisé Minalogic et subventionné par la région Auvergne Rhône Alpes
Le projet ANACONDA (ANAlyse de Cybersécurité au moyen d’Outils Non-intrusifs de Diagnostique Automatique) vise à développer le démonstrateur d’un équipement de diagnostic automatique de vulnérabilités pour l’internet des objets dans un contexte d’évaluation et de vérification des exigences de sûreté et de sécurité.
Cette solution permettra au concepteur de systèmes connectés d’effectuer des campagnes de tests et d’investigation tout au long des phases de conception pour remplir l’objectif d’une conception sécurisée.
Le consortium est constitué de Ponant Technologies (entreprise Valentinoise leader du projet), Rtone et le laboratoire LCIS.
J'ai eu mon bac S option SI en 2016, j'ai ensuite intégré l'ESISAR en première année. En troisième année je me suis orienté vers la filière EIS (Electronique, Informatique et Système). J'ai ensuite choisi en quatrième année l'option informatique des systèmes embarqués. Je suis aujourd'hui en 5ème année.
J'ai choisi ce stage car la sécurité matérielle m'intéresse beaucoup. J'ai découvert ce domaine suite à un cours en 5ème année. Les attaques matérielles sont relativement récentes, et la majorité des produits ne sont absolument pas protégés contre ce type d'attaque, qui peuvent pourtant avoir des conséquences désastreuses.
L'objectif du projet est de proposer un outil capable de réaliser l'audit d'un produit de manière automatisé. Mon stage s'inscrit dans la première partie du projet, je dois sélectionner des outils d’attaques matérielles pertinents, les évaluer puis les prendre en main. Il faudra ensuite utiliser ces outils sur un produit. Je dois également proposer une démarche d'audit en fonction des normes, des standards et des bonnes pratiques de sécurité dans l'IoT.
Tout d'abord, ce stage m'a permis d'approfondir mes connaissances dans le domaine de la sécurité matérielle. Mais ce stage m'a surtout apporté une méthode de réflexion et une meilleure compréhension de ce que signifie être ingénieur, et donc ce que l'on attendra de moi dans le monde de l'entreprise.
Ce qui m'a le plus marqué c'est l'ambiance. Ce stage s'effectue dans un contexte particulier, et malgré cela, ou peut-être est-ce justement à cause de cela, la bonne humeur était constante pendant tout le stage, que ce soit avec les autres stagiaires, le personnel du LCIS, ou même pendant les réunions de travail.
L'analyse des standards et bonnes pratiques. Il y en a énormément, et les documents sont longs, c'est un travail extrêmement laborieux.
La fameuse question ! Que ce soit dans 18 mois ou dans 5 ans, j'espère avoir un cdi dans une entreprise en tant qu'ingénieur, et évoluer au sein de cette entreprise. Il y a plusieurs domaines qui m'intéressent, la sécurité matérielle bien sûr, mais également la programmation en couche basse pour un système embarqué.
Le projet ANACONDA (ANAlyse de Cybersécurité au moyen d’Outils Non-intrusifs de Diagnostique Automatique) vise à développer le démonstrateur d’un équipement de diagnostic automatique de vulnérabilités pour l’internet des objets dans un contexte d’évaluation et de vérification des exigences de sûreté et de sécurité.
Cette solution permettra au concepteur de systèmes connectés d’effectuer des campagnes de tests et d’investigation tout au long des phases de conception pour remplir l’objectif d’une conception sécurisée.
Le consortium est constitué de Ponant Technologies (entreprise Valentinoise leader du projet), Rtone et le laboratoire LCIS.
Peux-tu me présenter brièvement ton parcours ?
J'ai eu mon bac S option SI en 2016, j'ai ensuite intégré l'ESISAR en première année. En troisième année je me suis orienté vers la filière EIS (Electronique, Informatique et Système). J'ai ensuite choisi en quatrième année l'option informatique des systèmes embarqués. Je suis aujourd'hui en 5ème année.
Pourquoi avoir choisi ce stage ?
J'ai choisi ce stage car la sécurité matérielle m'intéresse beaucoup. J'ai découvert ce domaine suite à un cours en 5ème année. Les attaques matérielles sont relativement récentes, et la majorité des produits ne sont absolument pas protégés contre ce type d'attaque, qui peuvent pourtant avoir des conséquences désastreuses.
Quelles sont tes principales missions ?
L'objectif du projet est de proposer un outil capable de réaliser l'audit d'un produit de manière automatisé. Mon stage s'inscrit dans la première partie du projet, je dois sélectionner des outils d’attaques matérielles pertinents, les évaluer puis les prendre en main. Il faudra ensuite utiliser ces outils sur un produit. Je dois également proposer une démarche d'audit en fonction des normes, des standards et des bonnes pratiques de sécurité dans l'IoT.
Quels ont été ses apports dans ta formation d’ingénieur ?
Tout d'abord, ce stage m'a permis d'approfondir mes connaissances dans le domaine de la sécurité matérielle. Mais ce stage m'a surtout apporté une méthode de réflexion et une meilleure compréhension de ce que signifie être ingénieur, et donc ce que l'on attendra de moi dans le monde de l'entreprise.
Quel est ton meilleur souvenir ?
Ce qui m'a le plus marqué c'est l'ambiance. Ce stage s'effectue dans un contexte particulier, et malgré cela, ou peut-être est-ce justement à cause de cela, la bonne humeur était constante pendant tout le stage, que ce soit avec les autres stagiaires, le personnel du LCIS, ou même pendant les réunions de travail.
Quel est ton pire souvenir ?
L'analyse des standards et bonnes pratiques. Il y en a énormément, et les documents sont longs, c'est un travail extrêmement laborieux.
Vers quel projet souhaites-tu évoluer dans 18 mois ? dans 5 ans ?
La fameuse question ! Que ce soit dans 18 mois ou dans 5 ans, j'espère avoir un cdi dans une entreprise en tant qu'ingénieur, et évoluer au sein de cette entreprise. Il y a plusieurs domaines qui m'intéressent, la sécurité matérielle bien sûr, mais également la programmation en couche basse pour un système embarqué.